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al cap dels sèt cent ans, verdejara lo laurèl accueil benvenguda als aimadors de catarisme articles récents » le mont sûr « montségur….cançon de claude marti las nòstras retrobalhas… ( nos retrouvailles ) la nòstra rescontre … ( notre rencontre ) « par toi, noble endormie » , poème d’ andré maynard exprimant son amour au pays d’oc et son respect à ses martyrs montsegur la crosada contra los albigeses visiteurs il y a 1 visiteur en ligne méta inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires catégories canã§on non classé trã²bas catars derniers articles » le mont sûr « montségur….cançon de claude marti las nòstras retrobalhas… ( nos retrouvailles ) la nòstra rescontre … ( notre rencontre ) « par toi, noble endormie » , poème d’ andré maynard exprimant son amour au pays d’oc et son respect à ses martyrs montsegur la crosada contra los albigeses liens créer un blog unblog.fr » le mont sûr « posté par marydu14 le 29 mars 2009 du haut d’un rocher des pyrénées ariègeoises, au sein d’une nature admirable dont le spectacle boulverse toujours le voyageur, un homme a défié, quarante ans durant, les deux plus grandes puissances de son temps, l’eglise et le roi.cette geste pathétique et folle s’acheva un matin de mars 1244, dans les larmes et les cendres d’un immense bûcher collectif. la tragique destinée du château de raymond de péreille et la magie du site où il l’édifia, tout concourt à faire de montségur un symbole. car qui songerait aujourd’hui à évoquer le languedoc, son histoire, sa culture, ses hommes, son paysage même, sans avoir présente à l’esprit et au coeur cette page à la fois dramatique et sublime que fut l’aventure cathare ? aventure, parcequ’un siècle et demi de catharisme, dans le parcours deux fois millénaire d’un pays et d’un peuple, ce n’est à tout prendre qu’un épisode parmi d’autres, une péripétie vouée à l’oubli, digne, au mieux, de quelques lignes émues dans ces grands registres de la mémoire officielle que sont les livres d’histoire. d’autant que la religion cathare n’a laissé d’autres traces visibles que quelques murs de châteaux ruinés, éparpillés dans la montagne d’ ariège ou des corbières, sur lesquels ont passé, avec la tramontane et le vent d’autan, des siècles d’indifférence. pourtant, plus de sept siècles après le drame, montségur parle encore à l’âme et hante toujours notre imaginaire. c’est que le tissu de la légende est venu peu à peu recouvrir les certitudes historiques: suffisamment de souffrance et d’héroïsme en ont fairt la chaîne et la trame, pour que l’évènement se magnifie malgrè lui, malgrè nous; dix mois de siège – dont tout un hiver – et à cette altitude ! il faut vivre à montségur pour se représenter, non sans quelque épouvante, ce que cela dur être pour ces hommes et ces femmes, ces vieillards, ces enfants, pris, tout là haut, dans l’inéxorable piège de la haine et de l’intolérance. sans autre eau que la neige fondue. sans autre bois que celui qu’ils avaient pu ramasser au cours du dernier automne de leur liberté. sans autre espoir, pour les ministres de la religion interdite, que d’avoir gagné peut être leur salut par toute une vie d’ascèse et de charité;pour les simples fidèles, la hantise de mourir sans avoir reçu le sacrement salvateur – tout en sachant que le recevoir les vouerait au bûcher. la mort a plané dix mois sur montségur. elle a tourné comme un épervier au-dessus du roc, des murs et des palissades. elle a frappé….. vous avez défendu bec et ongles à la fois l’indépendance d’un terroir, le droit de croire à la religion de votre choix et, tout simplement, votre peau. mais dans des circonstances telles et dans un tel décor que, sept siècles et demi après, ceux-là mêmes qui ne sont pas de ce pays-ci s’enchantent douloureusement – sans pour autant partager nécessairement votre foi – au récit de la chanson de geste que sans le savoir vous avez écrite de votre sang. avant même, d’ailleurs, que le mercredi 16 mars 1244 ne voie partir en cendres, sous les yeux d’une blanche armée rangée comme à la parade, ces deux centaines d’hommes et de femmes vêtus de noir qui vivaient à l’ exemple des apôtres, bénissaient le pauvre pain que vous mangiez et vous disait la parole qu’ils avaient reçue del’ esprit-saint. car avant d’être un bûcher, montségur fut un combat. montségur ! voici que le souvenir collectif s’accroche à ces pierres meurtries, comme si, des ces pauvres vestiges, on attendait toujours que monte la parole. le message des « parfaits » du xiii ème siècle serait-il donc d’un quelconque secours à l’homme d’aujourd’ui ? là fut arrachée du corps de la chrétienneté médiévale une mystérieuse fléche que l’eglise disait empoisonnée. là, plus de 200 hommes et femmes périrent volontairement sur le bûcher, pour une foi qui les avait engagés corps et âmes – mais qui était interdite. avec eux, toute une métaphysique s’est dissipée en fumée; elle n’est plus jamais revenue hanter les prières des saints ni – jusqu’à une date récente – les rêveries des philosophes. mais qui visite montségur sait bien qu’il entre dans le lieu d’une éternelle interrogation… sur ce rocher dont le nom signifie » le mont sûr », le bien commun d’un peuple et d’une culture avait cru trouver un refuge inexpugnable. les armes en ont décidé autrement. mais sept siècles après, montségur se dresse toujours comme un symbole au sommet de son piton d’ ariège; moins peut être comme celui d’une indépendance perdue, que comme celui, plus actuel, du droit de penser, de croire et de vivre. un droit pour lequel, le 16 mars 1244, deux cent vingt hommes et femmes, nobles et paysans, servantes et châtelaines, chavaliers, marchands ou bergers, ont choisi de mourir… michel roquebert » mourir à montségur « publié dans non classé | pas de commentaire » montségur….cançon de claude marti posté par marydu14 le 3 février 2009 daissatz-me contar l’istòria d’un sang begut per ma tèrra daissatz-me contar l’istòria d’una volontat de fèrre d’una joventut passada d’una libertat volguda del vielh sòmi despertat d’una libertat perduda cinc cents èretz a montsegur sabent çò que viure vòl dire cinc cents èretz a montsegur segur i sètz darrièr l’azur vaqui l’ora de los corbasses per los camins de montferrier vaqui l’ora de los corbasses grand flume, negre poiridièr del papa la grand armada del rei de frança bandolièrs de dominica los porcasses amèn, amèn, dies irae ! vaqui l’ora de la desfacha l’idea brutla sul lentièr aqui l’alba de la victòria menam vostra lucha avuèi minoritats contra l’ empèri indians de totas las colors descolonizarem la terrà : montsegur, te dreiças pertot ! publié dans canã§on | pas de commentaire » las nòstras retrobalhas… ( nos retrouvailles ) posté par marydu14 le 29 janvier 2009 a u bout de quinze années e n route pour la cité j’ ai entendu vos voix o ù l’amour et la foi s ont restés à jamais a u pog de montségur v ous ô nobles parfaits a ux coeurs encore si purs n ous y voilà enfin u n retour attendu a u pied de ce chemin d e ta montagne sûre j e sentais mon coeur battre c omme si tu m’attendais o ù vous braves cathares v ous vous êtes embrasés ci tadelle du vertige ô combien mystérieuse t u attires en ce lieu t ouristes et curieux o ù tu m’as fait connaître l e temps d’une rencontre u n amour éphémère f ilant à l’horizon i l reste comme une empreinte o ù mon coeur s’est brisé u n sentiment de crainte l e temps s’est arrêté m ais cette passion étrange n ‘a jamais disparue e lle est restée intacte m algré ma déchirure j e le croyais à tort n e plus jamais t’aimer m ais la flamme brûle encore n e s’éteindra jamais o ù mon coeur et mon âme e ternellement enfouis e n cette terre d’ oc n ommée occitanie publié dans trã²bas catars | pas de commentaire » la nòstra rescontre … ( notre rencontre ) posté par marydu14 le 29 janvier 2009 comment vous remercier vous chers parents de m’avoir promener dans ma petite enfance a travers ces sentiers qui ont trouvé un sens et de ma maisonnée raisonnent comme une absence en ce mois de juillet de mon adoles